En 2019, la performance moyenne des SCPI de Primonial REIM s’élève à 5,10% net de frais de gestion. Dans un environnement économique requérant plus que jamais une vision de long terme, ces performances valident la stratégie d’investissement sélective par classe d’actifs, opérée par la Société de Gestion depuis près de 10 ans, basée sur :

  • la qualité de la localisation,
  • la qualité du bâtiment,
  • le choix des locataires,
  • l’attractivité des territoires.

 

LA SCPI PRIMOPIERRE : 5,92%

En 2019, la performance de la SCPI Primopierre, orientée sur l’immobilier de bureaux, s’élève à 5,92% avant prélèvement libératoire, dont 1,55% correspondant aux plus-values distribuées suite à la cession d’actifs (performance de 4,50% en 2018).

Primopierre a bénéficié d’un double moteur de performance qui repose à la fois sur :

  • la perception de revenus locatifs générée par la qualité de son patrimoine immobilier majoritairement francilien, loué en grande partie à de grands locataires de renom,
  • le travail d’asset management effectué sur les actifs cédés arrivés à maturité et ayant généré des plus-values pour les épargnants.

Plus de 10 ans après la création de la SCPI, dans un contexte marché très compétitif et un environnement de taux bas, la bonne performance de Primopierre confirme la capacité de la Société de Gestion à capter et créer de la valeur au bénéfice des associés de la SCPI.

 

LA SCPI PRIMOVIE : 4,51%

Primovie, la SCPI leader(2) en immobilier de santé et d’éducation en Europe, confirme une performance de 4,51% en 2019 (4,50% en 2018).

Créée en 2012, Primovie est une SCPI d’utilité sociale qui connecte l’épargne des ménages aux besoins spécifiques de la société en investissant notamment dans des crèches, des écoles, des maisons de retraites, des cliniques, des centres de santé.

L’immobilier de santé est porté par des tendances démographiques favorables qui vont s’accentuer dans les années qui viennent. Les statistiques(3) prévoient, entre autres, un doublement de la population des plus de 65 ans d’ici 2050 en Europe, avec pour conséquence une augmentation de la demande de soins hospitaliers et des besoins accrus en matière d’hébergement pour les séniors.